On peut avoir une approche relativement circulaire : avec l’ouverture dominicale, il y a de la création d’activité et d’emplois, sans ouverture, il n’y en a pas. C’est à peu près ce qui est écrit.
Quant à la lettre que vous avez citée, elle me trouble sur un point, mais peut-être n’ai-je pas bien entendu : à aucun moment une enseigne ou un commerçant ne peuvent se voir infliger une pénalité ou une amende parce qu’ils refusent d’ouvrir le dimanche ; l’ouverture dominicale n’est pas une obligation.