J’ai entendu, en creux, les menaces que vous avez proférées. Je regrette, mais les compromis ne peuvent être que sur le fond, lorsque l’on essaie de résoudre les problèmes réels que connaissent nos concitoyens, comme nous l’avons fait en matière de logement et dans bien d’autres domaines.
Il ne peut pas être question de compromis pour nous mettre d’accord au sein de nos propres représentations. En tout cas, ce n’est pas l’idée que je me suis fait, sinon je n’aurais pas passé autant de temps ici et j’aurais essayé de trouver par ailleurs des compromis avec les uns et les autres, sur tous les bancs, pour essayer de parvenir à un accord sur ce texte. Je n’ai jamais cherché à pratiquer cette méthode-là, non, monsieur le député, jamais.