C’est précisément pourquoi je ne voudrais pas qu’il y ait des propos rapportés à tort ou des intentions cachées. Je le répète explicitement : je considère que le dialogue social et le rôle que jouent les confédérations syndicales sont essentiels pour notre démocratie et notre démocratie sociale.
Pour revenir à votre intervention, il me semble que vous ne prenez pas en compte l’apport majeur de ce texte. Je ne peux pas vous laisser dire que l’on continue finalement comme avant. La grande différence, c’est qu’en l’absence d’accord, il n’y aura pas d’ouverture. Par ce texte, nous donnons aux partenaires sociaux un pouvoir qu’ils n’ont jamais eu sur ce sujet, puisqu’ils peuvent désormais bloquer l’ouverture du dimanche. S’il n’y a pas d’accord, il n’y a pas d’ouverture.