Je comprends bien que, dans votre commune, madame Guittet, il ne soit pas nécessaire d’accorder plus de cinq ouvertures le dimanche par an mais le travail de M. Bailly a fait ressortir, dans d’autres communes où se trouvent des zones d’activité économique qui, sans être pour autant des zones commerciales ou des zones touristiques, sont plus intenses, le besoin d’ouvrir entre dix et quinze dimanches par an. Ironie du sort, il cite même dans son rapport le jour de la Saint-Valentin qui nous réunit aujourd’hui