Si ce n’était pas le cas, permettez-moi de vous livrer également le fond de ma pensée.
Nous avons déjà tenu plus de 180 heures de débat, en commission et dans l’hémicycle. Sur tous les sujets, et je viens encore de le faire en répondant à M. le député Sebaoun, je vous ai toujours livré la totalité de ce que le Gouvernement faisait et voulait faire. J’ai tout expliqué en détail, dans chaque domaine. J’ai exposé quelle était la philosophie des textes, et leurs modalités.
Avant un débat plus précis, vous avez tenu un propos général qui introduisait de la suspicion et mettait en cause la volonté du Premier ministre et la mienne.