… si cette négociation échouait – mais prendre sa responsabilité, ce n’est pas le faire de manière subreptice dans un amendement déconnecté du reste, qui consisterait à dire qu’il n’existe au fond qu’un problème : les seuils. Non, car le problème tient aussi à ce que, dans certaines catégories d’entreprises, il n’y a pas une juste répartition des salariés. En effet, quand on croit au dialogue social, on y croit complètement, totalement, comme nous l’avons fait sur différents sujets. Cette approche ne peut donc pas être isolée du reste. C’est pourquoi elle sera reprise dans son ensemble, car c’est là que se situe, depuis le début, la crédibilité de la démarche gouvernementale. Cette démarche sera poursuivie.
Oui, on peut être à la fois plus juste, plus efficace et finalement, monsieur le président Vigier, rester cohérent jusqu’au bout.