Voilà un bon amendement. Les « gens de mer », selon la formulation de l’amendement, ne sont pas toujours des hommes et des femmes de l’écrit. Hélas, ils se « tirent la bourre » entre eux, notamment dans le transport fluvial et particulièrement le transport fluvial artisanal, parce que les contrats ne sont pas écrits. Il est donc judicieux de les conduire à conclure, même par voie électronique, des contrats écrits afin qu’ils ne se fassent pas concurrence entre eux.