Intervention de Richard Ferrand

Séance en hémicycle du 14 février 2015 à 22h00
Croissance activité et égalité des chances économiques — Seconde délibération

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaRichard Ferrand, rapporteur général de la commission spéciale :

et qui a su imaginer l’architecture des rapporteurs, qui paraissait baroque mais qui s’est finalement révélée assez sobre et efficace, du moins je l’espère.

Je salue l’ensemble des députés qui ont participé aux travaux de la commission spéciale, tous avec beaucoup d’assiduité et de volonté de contribuer à la qualité du travail collectif. Toutes et tous étaient animés, j’en suis convaincu, par la volonté de servir le bien public.

Je profite également de cette occasion pour saluer l’ensemble des collègues qui ne siégeaient pas dans cette commission spéciale mais qui ont participé pendant plus de cent heures aux travaux dans l’hémicycle, et l’ensemble des présidents de groupe et responsables de groupe qui ont travaillé sur ce texte. Permettez-moi à ce propos d’adresser un salut particulièrement amical à Jean-Yves Caullet.

Monsieur le président de l’Assemblée nationale, je tiens à vous dire que nous avons trouvé auprès des administrateurs et administratrices un secours particulier, et le terme est faible, dans un temps relativement ramassé, pour accomplir ce travail qui s’est déroulé dans des conditions denses et enrichissantes pour tous.

Enfin, je serais incomplet si je n’associais pas à ces remerciements l’ensemble des collaboratrices et collaborateurs des groupes bien entendu, qui ont apporté leur pierre à l’édifice, et des députés.

Je ne permettrais pas de me faire l’interprète de chacun, mais il me semble avoir pu partager ici avec vous tous un grand moment de passion, cette nuit encore. Cela démontre que ce qui nous anime c’est la passion plus que l’ambition. Chacun a voulu exprimer son point de vue, parfois avec véhémence, mais toujours avec respect.

Or, la passion, vous le savez, est nécessaire. Je vais vous faire une confidence : je n’aime pas les citations. Un de mes professeurs de français avait écrit au tableau : Ne faites jamais de citation classique, cela revient à exhumer sa grand-mère en présence de sa maîtresse.

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