Au-delà de la découverte de la défense, la détection des problèmes présente un intérêt fondamental. Or j'ai l'impression qu'une fois détectés, les 10 % de jeunes en difficulté de lecture disparaissent dans les sables de l'Éducation nationale, ne bénéficiant d'aucun suivi. Ne faut-il pas alors les adresser ailleurs ? Vos documents sont-ils confidentiels ou bien en ma qualité de président de région, je pourrais disposer des coordonnées de ces jeunes afin de monter un dispositif à la québécoise de lutte contre l'échec scolaire ? La République et l'État ne s'arrêtent pas à l'échelon national !