Nous la faisons pour eux, et le reste de la réforme, nous la ferons pour eux ! Au fond, monsieur le député, la seule réponse que je voudrais vous faire, à vous qui avez participé à ce débat, c’est que, face à la grande coalition du déni, celle qui considère qu’il n’y a rien à faire, celle qui considère que nous ne devrions pas bouger, eh bien oui, nous avons raison d’agir !