Vous le savez : on ne sort de l’ambiguïté qu’à son détriment. C’est le problème de ce texte.
À l’origine, comme je le disais hier à la tribune, vous deviez, comme le Premier ministre l’avait également annoncé dans son premier discours de politique générale, vous diriger vers la suppression des conseils généraux. En définitive, vous avez fait marche arrière, peut-être parce que le Premier ministre n’a pas pu imposer ses vues au Président de la République…