Là aussi, les choses vont se faire progressivement, avec des transferts graduels de compétences. Croyez-vous qu’en 1982-1983, tout se soit fait du jour au lendemain ? De même en 2004, quand le gouvernement de Jean-Pierre Raffarin a décentralisé les personnels des collèges et les routes nationales ; j’étais président de conseil général à l’époque : nous avons mis trois ans pour assurer ce transfert.