J'ai eu l'occasion de discuter avec un ancien champion du monde qui a souffert de son manque de diplôme pour aborder sa vie après la pratique du sport. Or, alors même que les sportifs de haut niveau intéressent les entreprises, ils sont obligés, dans leur carrière, de privilégier l'entraînement plutôt que l'obtention de diplômes. Ne pourrait-on pas prévoir, comme aux États-Unis, un système de validation des acquis sur le long terme, ce qui impliquerait d'imaginer de nouveaux référentiels ?
Ne pourrait-on pas mieux accompagner les sportifs de très haut niveau ?