Je m'associe, Mme la directrice générale, à ce qui a été exprimé quant à l'utilité de ce dispositif pour les jeunes en manque de repères qui cherchent à se réintégrer dans la société. J'ai, pour ma part, deux questions.
L'intégration est certes d'ordre social et professionnel mais relève également du sentiment d'appartenance à un collectif. Je crois avoir compris que les rapports avec les collectivités territoriales étaient compliqués mais il serait certainement possible, par exemple lors d'épisodes critiques tels qu'enneigement ou inondations, de faire participer ces jeunes à des actions solidaires notamment via le milieu associatif. Un engagement d'utilité publique fait-il partie du cursus de formation ?
Par ailleurs, ce dispositif, qui donne de très bons résultats pour les jeunes de plus de dix-huit ans, pourrait-il selon vous, au sein de l'EPIDe ou dans une structure différente, être reproduit ou adapté pour des jeunes de moins de dix-huit ans, car il est parfois déjà trop tard à cet âge ? Quelle serait la tranche d'âge envisageable ?