…car elle s’est aperçue que les bateaux allaient mouiller ailleurs, en l’occurrence en Corse. Les Sardes ont perçu les impacts négatifs de ce dispositif sur le tourisme local : qu’il s’agisse, par exemple, des restaurants ou des bars, l’effet a été dévastateur. Ils ont donc mis fin à la perception de ce droit, complètement anti-économique, que personne ne comprenait.
Il existe également un problème lié aux libertés individuelles. On nous a en quelque sorte « imposé » – j’emploie des guillemets – le parc national des Calanques qui, d’après son nom, bénéficie, je le suppose, d’un financement national ; ce n’est pas un parc régional, comme certains l’auraient préféré. Cela signifie, madame la ministre que, de Carry-le-Rouet jusqu’à la frontière italienne – on a vérifié ce point avec l’ensemble des professionnels – on ne pourra pratiquement plus mouiller, à moins de payer vingt euros par mètre…