L'abandon définitif du projet de barrage n'est pour l'heure pas certain ! Dans le courriel que vous nous avez adressé le 10 février 2015, sollicitant une audition devant cette commission d'enquête, vous dénoncez les agissements des partisans du barrage, évoquant des interdictions d'accès et des actes graves : violences physiques, menaces, destructions de biens. Pour qualifier ces faits – dont certains, comme le saccage de la voiture de M. Rossignol, semblent avérés –, vous utilisez le terme d'« exactions ». Vous avez également évoqué tout à l'heure la « stratégie de la tension ». Monsieur Cottaz-Cordier, ces faits sont-ils l'apanage des seuls groupes qui revendiquent le soutien au projet ? Quels termes emploieriez-vous s'agissant des modes d'action de certains opposants au barrage – que seul M. Rossignol a brièvement mentionnés ?