Monsieur le député, vous posez plusieurs questions sérieuses, et techniques, qui appellent des réponses auxquelles le Parlement sera naturellement associé.
Ici même, à la fin de l’année 2014, la majorité a voté une trajectoire de retour des déficits en dessous des 3 % du PIB qui nous mène en 2017.
Jeudi dernier, la Commission a adopté une nouvelle recommandation qu’elle a adressée à la France et qui propose une trajectoire ramenant le déficit public à 3 % en 2017. Il n’y a donc pas de contradiction ni d’impatience, mais une convergence d’arguments.
Quels sont ces arguments ? Il faut plus de croissance.