En revanche, en écho aux propos de M. Apparu, j’invite le Gouvernement à travailler avec les élus de la région, de Reims, d’Épernay, de Châlons, pour faire en sorte que la structuration de cette aire urbaine devienne possible, peut-être en lui donnant un statut différent de celui de métropole.
Je le répète, la position de la commission des lois n’est pas d’ouvrir la liste des métropoles, mais elle reconnaît qu’il y a sans doute des solutions à apporter à un territoire comme celui décrit par M. Apparu.