Je ne dis pas, cher collègue Asensi, qu’on trouve des riches en Seine-Saint-Denis et des pauvres dans le Val d’Oise, mais les quartiers en difficulté de la Seine-Saint-Denis bénéficieront de la solidarité de la métropole – c’est l’intérêt de cette nouvelle structure – contrairement aux communes de l’Est du Val d’Oise qui n’en font pas toutes partie. Nous bénéficierons des retombées économiques et sociales de Roissy au profit d’un développement intelligent de l’Île-de-France autour d’une grande métropole et d’intercommunalités pertinentes. Ainsi, cette Île-de-France qui nous est si chère sera enfin développée harmonieusement, car elle a beau être le coeur économique de la France, elle n’en comporte pas moins des quartiers en extrême déshérence. L’amendement propose donc que l’aéroport de Roissy n’intègre pas en totalité la métropole et travaille efficacement avec les territoires environnants grâce à la partie demeurée en dehors.