Cet amendement va dans le même sens que celui qu’a défendu M. Laurent. Le DALO doit rester de la compétence de l’État. Nous sommes actuellement dans une impasse : en 2014, il restait encore 44 000 personnes à reloger au titre de ce dispositif. Dans ce contexte, nous ne pouvons soutenir le transfert de cette compétence à la métropole du Grand Paris. Cela reviendrait à exonérer l’État de ses responsabilités alors même qu’il doit garantir aux personnes en grande difficulté ce droit fondamental et qu’il est le seul à pouvoir jouer le rôle d’arbitre impartial pour les reloger dans des conditions décentes et pas toujours dans les quartiers en difficulté.