Comment allons-nous faire pour des communautés d’agglomération à l’image de celle que je préside, Terres de France, et ses 120 000 habitants, avec des délégués ciblés, fléchés lors des élections municipales ? Que vont-ils devenir ? Je crains que le temps que le fameux conseil de territoires se mette en place et installe son administration – 450 000 habitants, cinquante-deux élus –, nous devions fonctionner au ralenti. Terres de France a la chance d’avoir une ZAC de 150 hectares en plein rendement aujourd’hui : tout va s’arrêter ! Je ne comprends pas pourquoi on demanderait aujourd’hui aux conseillers municipaux, élus aux élections municipales, d’arrêter toute activité. C’est totalement incompréhensible.