De ce que j'entends parfois auprès de salariés ou d'employeurs, c'est tant qu'on n'en a pas besoin de la médecine du travail qu'on estime qu'elle ne sert à rien, mais cela s'inverse lorsqu'un besoin survient, le problème étant qu'alors la question ne doit pas se poser uniquement en termes d'inaptitude.