Je vous rappelle deux choses. Premièrement, le Premier ministre a accepté, le 28 octobre, à la demande de la nouvelle majorité sénatoriale, de reporter le vote de ce texte en séance publique au Sénat afin d’organiser un débat, au cours duquel il a d’abord, pour ainsi dire, négocié avec la nouvelle majorité. Nous aurions achevé l’examen du texte depuis longtemps si le Premier ministre n’avait pas accepté cette demande de la nouvelle majorité.