Que s’est-il passé ? Un milliard et demi de cotisations, perdues à cause de la fusion de systèmes informatiques incompatibles, n’ont pas été recouvrées ; 300 000 dossiers ont dû être reconstitués manuellement, concernant parfois des carrières longues d’une trentaine d’années, afin que les retraites puissent être liquidées. Telles sont les responsabilités.
Mais ceci est derrière nous : vous avez raison, ce n’est pas aux travailleurs indépendants d’aujourd’hui de payer les erreurs des gouvernements d’hier.