Le premier principe qui doit prévaloir est celui que la ministre de l’écologie a rappelé à plusieurs reprises : la simplification et le raccourcissement des procédures de manière qu’il ne s’écoule pas un temps trop long entre le moment où des collectivités locales décident de la construction d’ouvrages d’infrastructures importants et celui où ils sont réalisés. Des réformes sont à prévoir, des simplifications doivent être apportées. Le Gouvernement s’y penche et cela sera de nature, incontestablement, à apaiser le climat là où il y a des contestations et des confrontations.
Deuxièmement, il est important, lorsque des infrastructures de grande envergure sont susceptibles de poser des problèmes environnementaux, que le dialogue, la confrontation des points de vue aient lieu, que les expertises soient réalisées.
Le 11/03/2015 à 09:17, laïc a dit :
Puisque ces grands travaux concernent tout le monde, le minimum serait d'organiser des référendums locaux pour savoir ce que la population en pense. La politique de l'intérêt de quelques uns contre l'intérêt général, c'est le principe des dictatures, et la dictature, la République n'en veut pas.
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