J’appelle mes collègues à la vigilance dans la perspective prochaine de l’examen du projet de loi organique relatif à la Nouvelle-Calédonie.
Pour réussir sur la voie tracée par l’accord de Nouméa, nous avons besoin, vous l’avez vous-même rappelé lors du dernier comité des signataires, d’un État qui s’engage de manière forte et volontaire, mais nous avons surtout besoin de clarté et de cohérence de la part de l’État. C’est précisément, monsieur le Premier ministre, ce que vous demandent les Calédoniens.