La législation actuelle sur la fin de vie est donc largement acceptée. Pourtant, elle est très insuffisamment appliquée, car elle est insuffisamment connue, l’effort de formation professionnelle aux soins palliatifs étant inexistant, et surtout insuffisamment applicable, faute de moyens. Reconnaissons que le bon sens, la bonne méthode de gouvernance devraient nous amener d’abord à corriger ces deux défaillances et, une fois la loi bien connue et correctement appliquée, à envisager de l’améliorer en légiférant de nouveau le cas échéant si elle s’avérait insuffisante.