Je vais vous dire ceci, monsieur Jacquat, et je suis persuadé que vous serez d’accord avec moi : la France a besoin de se réformer et se réforme, non pas parce qu’on le lui demande, encore moins parce qu’on l’exige, mais parce que c’est bon pour la France, pour notre France que nous aimons, que nous voulons réformer souverainement.