Je connais votre engagement en la matière, et votre volonté d’améliorer la compétitivité de cette filière. Malgré ces efforts, dans mon département des Côtes-d’Armor – mais il n’est pas le seul concerné –, plus de 150 exploitants sont dans des situations très préoccupantes, notamment en raison de l’embargo russe décrété il y a près d’un an.
Certains m’ont même annoncé qu’ils ne sont plus en capacité de régler les céréales pour leurs animaux.