que l’on a pu récupérer ici ou là. Le consensus transpartisan bâti parce que le Président de la République, avec raison, l’a souhaité, parce que nos collègues l’ont recherché inlassablement, serait alors rompu. Dans ce cas, nous ne voterions pas le texte et nous nous retrouverions avec la loi de 2005. Vous pourriez alors, madame la ministre, déployer des moyens pour l’appliquer, en formation et en création de lits palliatifs, et, finalement, ce serait peut-être la meilleure solution.