Nous avons eu sous la précédente législature, notamment à l'initiative du président Didier Migaud, un débat sur la contribution du secteur financier au rétablissement des finances publiques. Si l'on peut légitimement considérer qu'il faudrait que cette contribution soit plus significative, il ne me semble pas justifié d'en affecter la totalité du produit à un organisme qui n'en a pas manifestement besoin.