Vos propos sur la recherche et technologie confortent les inquiétudes générales de M. Louis Gallois sur les carnets de commande des bureaux d'études.
Comment sont répartis ces 750 millions d'euros entre les bureaux d'études publics et privés ?
Par ailleurs, envisagez-vous une éventuelle restructuration du marché de la défense terrestre ou celui-ci est-il destiné à demeurer atomisé et, de ce fait, moins concurrentiel que ses grands concurrents internationaux ?