Dans le domaine aérien, le conflit afghan a fini de nous persuader de la nécessité d'améliorer constamment l'interopérabilité avec nos alliés. C'est un travail à la fois théorique et pratique. Nous avons dû également mettre rapidement en service des armements dont les capacités de frappe puissent évoluer à la demande.
S'agissant des drones, la décision appartient aux pouvoirs publics.