L'interopérabilité repose sur des normes précises que chacun doit respecter. Elles répondent, pour ce qui concerne la France et ses alliés, au standard OTAN. Il appartient ensuite aux industriels, qui participent à la concertation organisée par l'OTAN, de développer les matériels ad hoc. Il existe donc une collaboration étroite en la matière à la fois entre les partenaires industriels et entre l'État et l'industrie. La concurrence ne porte donc pas sur les normes mais sur les matériels.