La ministre déléguée chargée de la famille nous a demandé de réfléchir sur ce thème des disparités territoriales, qui concerne toute une série d'équipements et de services centrés sur l'enfance et l'adolescence, où elles sont très fortes. Il s'agit d'un sujet difficile, sur lequel va influencer la réforme des rythmes scolaires, qui rebat les cartes en ce qui concerne les charges des communes.
Nous avons rappelé qu'il ne suffisait pas d'avoir un plan de 200 000 places de garde − même s'il a été honorablement géré –, si l'on supprimait dans le même temps 150 000 places à l'école maternelle…