Les réseaux « violences intrafamiliales » (VIF) mis en place sur certains territoires nécessitent des moyens en termes de formation des personnels qui en sont les partenaires – assistantes sociales, personnels des préfectures et des gendarmeries. Les besoins dans ce domaine sont d'autant plus importants que le territoire concerné est rural, car il doit alors bénéficier d'un maillage renforcé : c'est le cas de la Saône-et-Loire, dont les dotations actuelles ne sont sans doute pas à la hauteur de l'enjeu.