Madame la ministre, je vous remercie de votre réponse très précise. Si j’ai posé la question de ce que pensaient les agents de l’ONEMA, entre autres, c’est bien parce que nous savons toutes et tous – en tous cas celles et ceux d’entre nous qui discutent avec les agents – que tous les problèmes ne sont pas réglés. Et comme nous sommes en première lecture, et que la navette va avoir lieu, il est tout à fait légitime que la représentation nationale se préoccupe – quoi qu’il en soit, c’est notre cas – du devenir d’agents reconnus, qui font un excellent travail. La ministre, que je remercie pour son honnêteté, a reconnu, comme la rapporteure d’ailleurs, que tout n’était pas réglé, et qu’une évolution statutaire était encore nécessaire.
Je crois que, ce soir, plutôt que de nous faire un reproche injustifié sur un amendement, vous devriez penser à celles et ceux qui travaillent et qui seront demain les agents de l’Agence française pour la biodiversité : ils sont plutôt fiers qu’il y ait des députés qui se préoccupent de leur devenir comme de leur avenir.