Il me semble que la nouvelle Commission européenne poursuit la même logique que l'ancienne. Elle ne prend pas en considération d'autres analyses que la sienne, qu'il s'agisse des recommandations de Jean Pisany-Ferry ou de celles de Thomas Piketty, alors qu'il existe des effets délétères sur l'emploi.
La seule réponse que va apporter la France est-elle vraiment de garder les anciens chiffres, sans remettre en cause la méthode ?