Je remercie M. Bapt pour sa longue intervention et les précisions qu’il a apportées, car le sujet le méritait. En effet, nous avons affaire à un véritable fléau qui sévit depuis trop longtemps. Nous avons laissé les firmes pharmaceutiques et chimiques de l’agro-industrie polluer durablement nos sols. Comme cela a été dit, ces produits restent dans la terre ; il faut des années pour que les sols soient dépollués.
La question de l’urgence de l’interdiction se pose donc vraiment. Je remercie à nouveau Gérard Bapt d’avoir déposé un amendement à ce sujet. Nous ne pouvons pas dire que nous ne savons pas. Il est temps d’agir très vite. Comme nous sommes nombreux à penser la même chose sur ce sujet, j’espère que nous aboutirons.