Je sais, madame la ministre, que ce sujet n’est pas de votre ressort et j’entends bien la réponse que vous me faites. Je précise simplement qu’elle ne correspond pas à ma question. Je vous ai interrogée sur des décisions qui appartiennent à l’État. C’est lui qui organise des trafics de fret militaire et humanitaire. C’est donc de lui que relèvent les décisions en la matière.
Ma question ne portait ni sur des accords internationaux, ni sur le développement du fret commercial privé, ni sur celui du transport privé de passagers : nous essayons naturellement, avec vos services, de manière traditionnelle, de développer le dynamisme de ces activités commerciales. Elle portait sur un domaine dans lequel il appartient à l’État de prendre des décisions. Il assumerait ses responsabilités en matière de compensation pour notre territoire en décidant que le fret humanitaire et militaire sera désormais établi à Vatry.