Ce pourrait même être des chartes interentreprises, comme à Lyon.
Les crèches à horaires différés sont également intéressantes. Néanmoins, la création de crèches ouvertes vingt-quatre heures sur vingt-quatre est-elle une nécessité ? Hormis les professions qui exigent de travailler la nuit – infirmières, pompiers, etc. –, d'autres métiers, comme vendeuses ou caissières dans des magasins parisiens, demandent une présence jusqu'à vingt et une heure, vingt-deux heures, voire vingt-trois heures comme à Monoprix. Doit-on suivre la demande des entreprises et accompagner les parents jusqu'au bout dans cette sorte de dérégulation ?