La France est d’ailleurs toujours forcée d’en atténuer l’impact lors des négociations à ce sujet à Bruxelles. Mais il ne faut pas se tromper : c’est bien la Russie qui souffre aujourd’hui le plus de ces sanctions. C’est elle qui voit son PIB se contracter, sa monnaie se dévaluer, les investissements étrangers se raréfier, les capitaux fuir le pays.