Vous savez que de très nombreux postes sont vacants, et que l’encadrement des détenus n’est plus convenablement assuré. C’est de la reconnaissance du travail des surveillants dont il s’agit, madame la ministre, et l’on ne saurait laisser les choses en l’état !
Mes questions sont donc simples. À l’heure où je vous parle, mille surveillants n’ont pas été remplacés. Quand le seront-ils ?