La libération sous contrainte offre la possibilité de suivre les personnes sortant de nos établissements sur une période plus longue correspondant à un tiers de la peine à partir d’un projet élaboré à l’intérieur. Il s’agit d’une possibilité plus large que les précédentes, car l’ancien gouvernement avait mis en place un mécanisme tout à fait automatique et absolument inefficace de fin de sortie de peine, associé au bracelet électronique, dépourvu d’efficacité et qui ne fonctionnait absolument pas. Nous ouvrons, nous, une palette de possibilités : la libération conditionnelle, la semi-liberté, le placement extérieur et la surveillance.