Je remercie le Gouvernement pour cette réponse et les perspectives positives pour l’avenir de cette homologation. Je vous remercie également d’avoir la gentillesse de transmettre ce message à vos collègues des affaires étrangères et de l’éducation nationale : le représentant sur place des Français doit être tenu informé semaine après semaine de l’évolution des discussions. Je ne laisserai pas fragiliser ce dispositif pour des combats d’arrière-garde car je connais bien la concurrence entre deux ministères : celui des affaires étrangères, dont relève l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger, et le ministère de l’éducation nationale. Il s’agit de l’intérêt des enfants Français qui sont là-bas, donc de l’intérêt de notre pays. La France doit investir dans l’éducation des Français à l’étranger. Nous avons un avenir mondial si tant est que nous sachions nous appuyer sur nos compatriotes et conserver le lien avec les jeunes Français, porteurs de l’avenir de notre pays.