Nous souhaiterions être unité opérationnelle (UO), car cela nous assurerait la marge de manoeuvre nécessaire.
Tout le monde ne travaille pas comme nous. Nous nous sommes fixé des objectifs sur trois ans. L'un d'eux est le maillage du territoire. Chaque année, nous installons des petites permanences ici ou là. Il faut que les associations négocient le cofinancement de leur budget : hors Marseille, pour assurer une permanence, je ne verse que 2 500 euros. Les collectivités, souvent les villes, à travers le CUCS, apportent un complément de financement. Mais tout cela se négocie au long cours. Le problème est que si l'on s'engage auprès d'un élu et que l'année suivante, les crédits ont été réorientés, ce travail de maillage n'est pas réalisable.