Madame la députée, le Premier ministre nous a donné à Laon, à Sylvia Pinel, André Vallini et moi-même, une feuille de route claire. C’était en effet un lieu symbolique pour répondre au sentiment d’abandon. Or, ce n’est pas en demandant 150 milliards d’économies de dépense publique que nous réussirons à répondre à l’absence de couverture en téléphonie mobile ou en haut débit et ce n’est pas en diminuant le nombre de fonctionnaires que nous pourrons créer des maisons de services publics.