L’éducation nationale manque cruellement de médecins et d’infirmières scolaires. Les enfants ne peuvent pas toujours les rencontrer dès que le besoin s’en fait sentir. Pourtant, cet accès est essentiel car il permet de détecter au plus tôt d’éventuels problèmes de santé ou troubles de l’apprentissage.
De plus, il est important que les infirmiers et les médecins de l’éducation nationale puissent suivre de manière régulière les élèves qui ont ces problèmes de santé, d’autant plus que tous les enfants n’ont pas un suivi régulier en dehors du système scolaire.
Cet amendement va donc dans le sens du projet de loi, puisqu’il vise à renforcer l’égalité d’accès aux soins des élèves.