Elle a accepté cet amendement. En effet, des études sociologiques montrent qu’une sensibilisation de l’enfant aux questions de santé, de prévention et aux bonnes pratiques alimentaires a des conséquences positives sur l’état de santé, notamment cardiovasculaire – mais pas seulement –, de la famille et de l’environnement proche. L’amendement de M. Letchimy apporte donc une précision utile : la commission y est favorable.