Vous ne vous êtes pas privés, pendant le mandat précédent, d’attaquer le chef de l’État, donc souffrez que de notre côté, nous puissions jouer une partie de tennis à la Connors avec vous !
Mon cher collègue Gille, je crois que vous entretenez cette confusion avec votre amendement. Il vaudrait mieux soutenir un gouvernement qui donne de l’argent et des moyens aux services hospitaliers, qui laisse les professions libérales vivre, créer de l’argent, du travail et employer des personnes, et améliorer ainsi les caisses de l’État, plutôt que de demeurer dans cette confusion !